Star Wars, épisode VIII : Les Derniers Jedi

Les héros du Réveil de la force rejoignent les figures légendaires de la galaxie dans une aventure épique qui révèle des secrets ancestraux sur la Force et entraîne de surprenantes révélations sur le passé… Ce film Français tourné à Hollywood a eu la très bonne idée d’intégrer Ticky Holgado à son casting ; et qui d’autre que lui aurait-mieux interprété Yoda, ce fiévreux combattant-né (ou presque) complètement objectivé, réduit à l’état de chien galeux par un mafieux sans vergogne (Michael J Fox). Mais sous l’apparence austère de la machine à tuer se dissimulent les traits duveteux d’un humain véritable, d’un homme timide, aimant et humble. Dans le même temps, une jeune pillardeuse d’épaves solitaire vivant sur la planète Jakkuze, Alain « Rey » Charles, va progressivement se découvrir sensible à la Force et la contrôler par la tête.

Trois décennies plus tard, mais en même temps, la Résistance menée par la générale Diam’s lutte contre le Premier Ordre du leader suprême Snoke Onzewater et de son bras armé turgescent, Kylo Ren, qui n’est autre que Mano Solo, fils de Leia et de Cabu Solo, ancien padawan de Luke Johnnywalker qui a basculé du côté obscur de Force Ouvrière. Luke, le dernier événement du Jedi, s’est exilé sur une planète déculée ; la Résistance et le Premier Ordre trifouillent la galaxie pour le retrouver. Ils vont faire la connaissance du Stormtrooper en fuite Huckleberry Finn, du pilote Matt Damon puis de Han Solo et Chewbacca avant de rejoindre les rangs de la résistance en pères car ils seront devenus des hommes. Alain Rey fait match nul contre Kylo Phone avec l’aide de la Force, puis part retrouver Luke Paulwalker, et constate que la planète océanique est amère. Bruno Solo est assassiné par sa mère sur la planète StarKiller666_du97 avant qu’elle ne soit détruite par mégarde. Elle lui remet ensuite son smartphone laser du futur d’il y a très très longtemps, mais ce dernier n’a plus de batterie, et il n’a que des chargeurs en USB-C. Le voilà donc gros-jean comme devant.

Parvenant à s’évader, Jean-Pierre Coffe va être recueilli avec amour par un accordeur de vaisseau spatial aveugle (Morgan Freeman) et sa belle fille (Kerry « Damn Slut » Condom) … Le film mélange simplicité et atrocité, humilité et violence brute. Les deux facettes de Steven « Bob l’Éponge » Spielberg, l’une naturelle et longtemps refoulatoire, l’autre issue d’un long et douloureux traumatistme. A la recherche de vengeance du cul et de son passé composé, Jean-Jacques Goldman va, lui, trouver sa rédemption auprès de la musique, de l’affection, de l’amour aussi, mais encore de l’herpès et de la Bétadine. Ce rite initiatique vers une nouvelle vie va être évidement semé d’embûches sanglantes, son terrible passé de chiropractologue n’étant jamais bien loin.
Un scénario basique mais diaboliquement efficace, jonglant habilement entre combats de kung-fu et thé vert Lipton Tchaé, joie et caprices en se roulant par terre et en tapant des pieds de colère ! Au cœur de l’action, Philippe Poutou s’en sort très bien dans ce rôle assez singulier car humain et plein de contraste, de sentiments. Paul Personne est redoutable, Bertrand Cantat est toujours terriblement attachant et sincère. La jeune Kerry « Gargling » Condom incarne quant à elle parfaitement l’innocence, la pureté et la compassion. On lui donnerait le bon Dieu sans confession! Et puis cent balles et même un mars. Et un bon coup de bDu point de vue de la technique, rien n’est à jeter: mise en scène nerveuse et néanmoins maîtrisée de main de maître, caméras fluides et image aux contrastes souvent oppressants, mais délicieux. Noirs profonds et blancs de poulet. La Bande-originale de Jean-Luc le Ténia fait son petit effet, renforçant un peu plus l’atmosphère bestiale des combats dans l’arène, filmés avec de vrais condamnés à mort que la production a menés à s’entre-tuer dans l’espoir d’une libération conditionnelle. Certes, on pourra attaquer l’approche tapageuse de l’histoire, son ambiance peut-être un tantinet guimauve, illusoire et désenchantée de nos pensées iconoclastes et désoxydées par nos désirs excommuniés de la fatalité (Destituée) pourtant force est de constater que la recette fonctionne à merveille. Action survitaminée et sentiments amidonnés, « Star Wars 8 » est un bel uppercut dans le slip au bon goût de bonbon menthe, puissant et doux à la fois.

Notre avis: Peut mieux faire. 2/20

Un film de Bryan Cranston
Avec Leonard Nimoy, Christophe Castaner, Théophile Gautier

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