Quatre ans après les événements mouvementés de « Transformers : Electric Boogaloo« , un groupe de puissants scientifiques cherche à repousser, via des SuperTransformers © Deluxe edition Platinium ®, les limites de la technologie. Hélas, faute de savoir manier les codes de la diffusion sur Youtube et Twitter avec dextérité, leur Kickstarter ne recevra que $20 sur les 5’000 milliards nécessaires.
Au même moment, un père de famille texan, Cade Roussel, découvre un vieux godemiché vibrant qui n’est autre qu’Optimus Prime. Le combat entre les Autobots et les Décepticons s’engage alors dans l’anus de Cade. Selon les mots du réalisateur, « piou ! piouuu ! broooum ! gé-ant ro-bot du fu-tur ! ratatatatataaa ! pan pan piouuu ! » ; ce qui se comprend, notamment au regard des choix audacieux du film vis-à-vis de la question du langage dans son rapport au discours et au changement de discours. Le signifiant est donc ce qui a effet de signifié, à la condition de « franchir la barre », comme le disait Jacques Lacan.
Un film unanimement salué par la critique.
« On avait rien vu de mieux depuis Rohmer » – Les Cahiers du Cinéma
« Un chef d’oeuvre absolu, novateur et vivifiant. Jean-Luc Godard peut aller rhabiller son vilain cul de vieille salope fasciste » – Télérama
« looool !!!! g fé caca mdrr 🙁 » – Atlantico
Nommé Médaille d’or – ex æquo avec tous les autres participants de la kermesse de l’école primaire de Saint-Jeannet (06)
Un film de Jigorō Kanō
Avec Guillaume le Bâtard bientôt surnommé le « Conquérant », Lucky Luke, Virginia Woolf, et une boîte de Meccano
